TEST - TEST - TEST
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Ceci est un forum de test.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez | 

 Fem!Matty yeaaah.

AuteurMessage
Tiago P.
Les grands de la cour de récré
Les grands de la cour de récré
Tiago P.

Messages : 69
Date d'inscription : 22/05/2011

Fem!Matty yeaaah. Empty
MessageSujet: Fem!Matty yeaaah.   Fem!Matty yeaaah. EmptyMar 28 Fév - 17:42

Fem!Matty yeaaah. Novat
    Au premier coup d’oeil

    Nom : Bertoni, Donna Amalia
    Surnoms : Techniquement, aucun. Personne n'a eu la foi de lui en trouver un. Et non. SM est strictement proscrit !
    Âge : 16 ans. Une jeune adolescente, en somme.
    Sexe : Féminin.
    Anniversaire : 3 septembre. Une date assez ingrate, mais dont elle s'accommode. Le patriotisme y étant pour quelque chose...
    Orientation Sexuelle : Quelle question. Un homme, c'est ainsi que vont les choses. Mais là, je vous en prie, elle est bien trop jeune pour y songer !
    Niveau Scolaire : 15-16 - Cycle Secondaire


    Pour un peu mieux vous connaître


    Pays que vous représentez : Saint-Marin. Bien entendu que vous visualisez. Depuis le temps que je vous le rabâche.
    Langues que vous parlez : Pour les besoins du tourisme, elle aspire à parler plus de dix langues. Pour la santé de sa pauvre cervelle, elle n'en connait que deux et demi. L'italien et l'anglais, qu'elle a appris jeune. Et le français, poussé par sa mère. Mais de ce côté-là, elle n'en est pas encore à lire Flaubert …
    Histoire Personnelle :
    J'aurais aimé laisser la parole à Donna. Elle est une excellente conteuse, quand elle le veut bien. Cependant, je crains que cela ne soit pas possible. Elle n'aime pas ce sujet. Son Histoire... Non, décidément, même sous torture, elle n'en lâcherait pas un mot ! Elle considère qu'avant de venir ici, elle n'a rien vécu. Dans un sens, elle n'a pas tord. Avant douze ans, ce n'est jamais très fameux. Mais je suis de bonne foi ce soir. J'irai contre l'avis de Donna. Et je vous parlerai d'elle. Que dis-je. Et je vous parle d'elle.


    Donna est née à Saint-Marin.
    Elle avait cet air serein dès la naissance. Elle n'avait pas pleurer, mais le fit, forcée par le médecin. Quand le bébé ne disait rien, on l'obligeait à crier un coup. Il fallait vérifier qu'il respirait bien. Les cris et les pleurs sont, parait-il, le meilleur moyen de le constater. Et le premier cri de donna fut strident. Long. Et lentement, s'éteignit.
    Ce cri, plus jamais ses parents ne l'entendirent. C'était une enfant calme, qui préférait rester dans son coin à jouer avec des morceaux de pâte à modeler, plutôt que de sortir jouer avec les autres enfants. Quand on lui parlait, elle ne répondait pas. Elle fixait devant elle, ses mains en train de saisir différents objets. On crut à l'autisme. Finalement, on apprit qu'elle aimait juste être seule. Les autres enfants se désintéressèrent très rapidement d'elle. Elle ne savait pas jouer, donc elle n'intéressait pas. Et plus que la fille, cela attrista la mère. Elle tenta d'envoyer, plusieurs fois, la gamine chez ses cousins. De drôles de gamins qui, dans leurs différences, rendaient Donna mal à l'aise. Rapidement, elle manifesta le désir de rentrer. Abandonnant le combat, sa mère la faisait rentrer chaque fois quelques jours après.

    Son père était transparent. Il était ce travailleur qui partait tôt le matin et rentrer tard le soir, tant épuisé que même l'idée d'une bière le rendait malade. Il ne parlait pas, sauf pour gronder Donna. Si la gamine était calme, elle avait pourtant des idées étranges. Quand elle eut huit ans, elle s'était baladé dans la petite maison, vêtue d'un costume à carreaux de son père, un vieux chapeau sur la tête et une cravate ridiculement verte. Elle disait être « son père rétréci ». Si sa mère en riait, son père vit rouge. Et plus jamais Donna n'ouvrit le tiroir de son père.
    Papa était un homme qui ne parlait pas, mais un homme capable de hausser la voix comme personne lorsque le besoin se manifestait. Il devint une référence pour Donna. Elle lui demanda régulièrement ce qu'il pensait de ses projets, de ses idées. Il répondait d'une voix lente et réfléchie, avec ce ton que la fille, plus tard, reproduira.

    Sa mère tentait toujours, désespérément, de la pousser vers les autres. Elle eut l'idée folle de lui faire suivre des cours de solfège. La gamine s'y rendait, écoutait, travaillait. Cela rendit sa mère heureuse. Elle la poussa rapidement vers le piano. Mais l'enfant se plaignait de ce clavier qu'elle trouvait oppressant. On lui suggéra le violon, elle trouva ça trop nuancé. On lui proposa la flûte, elle manqua de souffle. On lui présenta un triangle, elle s'en accommoda trois jours avant de s'en lasser.
    Finalement, sa mère abandonna. Elle ne pouvait faire de sa fille une musicienne. Alors, elle en fera une artiste. Donna suivit des cours de dessins. Elle s'endormit sur ses feuilles, rentrant le soir, la joue passée au fusain. Les nettoyages étaient tels que sa mère abandonna de nouveau.

    Son père, lui, acheta un appareil photo à sa fille. Elle avait onze ans et fixait les maisons avec admiration. Le cadeau de son paternel lui permit d'immortaliser les châteaux et rues qu'elle voyait. Comblée, elle accrochait toutes les photos sur le mur de sa chambre qui, si elle n'était pas parti, serait aujourd'hui rempli. On ne peut, à l'heure actuelle, que percevoir son bleu d'origine près du lit et de la porte.

    Et elle partit donc. Pour une grande école, lui dit-on. Cela l'angoissa. Elle ne pouvait visualiser sa vie sans sa mère ni son père. Et l'idée de se retrouver seule, loin d'eux, au milieu de gosses de son âge … L'effrayait.


    « Le passé appartient au passé. Et voilà donc quatre et demi que je suis ici. Que j'étudie dans cette académie. Je n'ai pas envie de parler de ce que j'ai ressenti. De mes premières journées, que j'ai très mal vécues. Tout le monde parlait cette langue, que je ne connaissais finalement, que par les livres et les films. Je n'avais encore jamais vraiment parler. Mais je m'en sors bien mieux. Cet endroit est, à sa manière, surprenant. Je m'y suis habituée. Je crois … »

    Famille : Cousine germaine des trois quarts des ritals, elle descend du même grand-père. Je vous laisse deviner. Haha. Elle les apprécie de loin. Pas qu'elle n'ose les approcher, mais c'est un peu le concept.

    Ça se passe comment dans votre tête ?
    Elle n'est pas de ces jeunes filles qui colorent ses ongles de rose en riant des derniers potins. Elle n'est pas de ces jeunes filles qui lisent l'horoscope du jour à leurs amies, avant de montrer à toutes sa toute nouvelle paire de chaussures. Elle n'est pas de ces jeunes filles qui gloussent à moitié devant ce beau garçon qui passe, en rêvant de se faire enlever par lui. Elle ne supporte pas de tels clichés, contre lesquels elle se bat en silence. Elle aimerait les détester, les mépriser, mais au fond d'elle, c'est toujours cette même jalousie qui revient. Celle de ne pas arriver à être comme toutes ces filles, à feindre la joie en fouillant les rayons à la recherche de ce top génial aux couleurs de la saison, à jouer les jeunes filles ordinaires.

    Elle a cette peur, celle d'être incapable d'agir comme toute adolescente qui se respecte, celle d'être une fille tout à fait banale. Une contradiction qui la tourmente quelques peu. Être ordinaire lui aurait permis d'avoir des contacts amicaux. Chose qu'elle n'a malheureusement pas, dû à son calme trop oppressant et son manque de volonté. Mais dans un autre sens, le fait même de n'être qu'une personne comme les autres l'effraie. C'est son individualité qui est en jeu. C'est une sorte de conflit permanent qui se joue en elle. Et pourtant, c'est une chose qui ne transparait pas. Qu'elle soit poussée par une facette de cette peur, ou d'une autre, elle agit inévitablement de la même manière. Cette façon de parler et d'agir, de se comporter même, aseptisée. Comme un linge qu'à force de lavage, aurait perdu sa couleur. Donna n'éveille rien. Elle est d'un ennui mortel.

    Elle parle de manière lente, en recherchant ses mots. Ce n'est pas de la timidité, ni un manque de confiance en elle. Elle sait parfaitement ce qu'elle vaut – ou non – et se fiche bien souvent de ce que pense l'autre. Elle part du principe que, si elle pèse ses mots, elle ne pourra vexer son interlocuteur. Aucune relation négative naitra suite à cela et alors, elle n'aura rien à craindre. De manière générale, elle juge que le discours évite bien des ennuis. Ainsi prend-t-elle un temps fou pour parler. Lentement, en laissant couler ses mots. C'est plutôt poétique, quand elle se sent inspirée. Et jamais vulgaire. Elle a horreur de ça. Et lorsqu'un de ces mots s'échappent, elle rougit et se signe trois fois.

    Ses manières suivent ses discours. Elle parle avec les mains, les agitant doucement autour d'elle. Lorsqu'elle marque de petits pauses, à la recherche de ce terme qui d'un coup lui échappe, elle suspend sa main dans l'air, la paume vers le sienne. Et elle se fige, jusqu'à ce qu'elle retrouve ce qu'elle voulait dire. Elle tient les choses du bout des doigts. De peur qu'elle ne se brûle peut-être. Se saisit de tout avec cette même lenteur qui la caractérise. Elle prend le temps de tout. Elle a tout le temps du monde, s'amuse-t-elle à dire. Elle ne s'inquiète pas pour ça.

    Il n'y a que dans sa tête, que tout carbure. Ses manières lentes, son discours lent, ses sourires lents et absents. Laissent à penser que ses idées font de même. Qu'elles lui viennent lentement. Pourtant, elle réfléchit. Tout le temps, de tout et de rien. Elle pense à son père et l'adoration qu'elle éprouve pour elle. Elle se demande pourquoi, pense aux causes potentielles. Elle tente de tout comprendre. Mais son jeune âge et ses maigres connaissances ont vite raison d'elle. Et la honte d'un jour penser faux la pousse à se taire. Elle ne parle jamais de musique. Elle a bien trop peur de se tromper. Elle ne parle jamais de l'architecture ou d'art. Elle ne comprend pas les grands chefs d'oeuvres. Elle ne parle pas de livres. Elle ne lit qu'en français, elle ne lit que pour apprendre et non pour lire vraiment. Et elle lit ces choses que personne ne comprend. Alors elle a honte. Elle se tait.

    Mais elle n'est pas ce genre de fille soumise. Que la honte fait toujours taire. Elle est ce genre de fille passive. Que la honte fait taire. Parce qu'elle n'a pas cette volonté d'aller contre la honte. Elle pourrait, elle doit en avoir les moyens, comme tout le monde. Mais elle s'en fiche, dans le fond. Souvent, elle soupire. À quoi bon ? Elle aime cette passivité qui la pousse à suivre les courants. Elle voit du paysage. Mais elle n'aime que les courants tranquilles. Ceux des intellectuels incompris. Elle se sent d'une extraordinaire banalité parmi eux, cela la rassure.

    Ai-je dit qu'elle se fichait de l'avis des autres ? Il faut nuancer un peu ce propos. Elle s'en fiche, car cela ne la blesse pas. Mais l'impression d'avoir raté une relation la taraude bien souvent. Puisque le discours est le remède de tous les maux, la solution miracle pour prévenir du pire, alors, elle se doit de l'appliquer. Et lorsque les mots ne suffisent pas, elle perd définitivement le peu de contrôle, que sa passivité lui permettait d'avoir. Elle panique. Et elle a honte. Car son pays mérite une véritable perle de la philosophie. Une personne calme, vivant cette paix intérieure qu'elle convoite. Et on lui rappelle qu'elle n'a que 16 ans. Elle est là pour représenter sa Nation. Pour l'être finalement. Mais elle est née humaine et ce n'est pas sa destinée qui taira ses angoisses d'adolescente.

    Ah. Donna est calme, bien trop calme. Et Donna s'amuse à bien parler. Elle aime ces débats interminables, sur des notions de psychologie. Elle n'y comprend pas grand chose. Mais la complexité de ce savoir la pousse à le connaître. Et dès lors qu'elle en saisit le sens, elle se sent libérée. Fière d'avoir compris et retenu. Mais surtout libérée. Le poids d'une ignorance s'envole.

    Il n'y a qu'un sujet qui l'irrite. La religion. Puisque la jeune fille se rend à la messe chaque dimanche, prie au chapelet une à deux fois par semaine si le temps lui permet et ne manque, cependant, jamais celles du soir. Elle ferme toujours soigneusement le col de sa chemise jusqu'en haut et ne porte jamais de jupe plus courte que le genou. Elle cache avec soin ses chevilles, par des chaussettes hautes. Elle ramène ses longues manches pour camoufler ses poignets. Elle n'apprécie guère l'été, durant lequel elle s'oblige à porter un fin gilet blanc. C'est une croyante. Et si elle se permet de douter en certains points de la Bible, c'est parce qu'elle a la foi. Et avoir foi est bien plus important, juge-t-elle, que de suivre la Bible aveuglement. Ce qui ne l'empêche pas de le faire également.

    Vous avez l’air de quoi ?
    Ses manières font d'elle une fille fade et sans personnalité, si ce n'est celle de la nonne hautaine. Les garçons ne se sont jamais vraiment pressé à sa porte, et cela, en un sens, se comprend. C'est une gamine ordinaire, qui gâche le peu de charme qu'elle a dans des revêtements de bonne soeur. Ses habits gomme les rares courbes que Dame Nature a consenti à lui offrir.
    Manches longues, jupe longue et chaussettes haute. C'est son credo, et ce qui hante son armoire depuis qu'elle a 12 ans. Âge de grand changement, tout d'abord par son départ de chez elle, par l'abandon de ses parents, mais aussi par toute l'angoisse d'un corps qui se change. Petit à petit, elle évolue. Elle est comme toute à chacune, cela l'effraie un peu. Elle ne comprend pas.

    Cette poitrine qui, malgré sa petite taille, aurait pu par ses formes offrir quelques visions, est rapidement comprimé par un soutien-gorge trop serré et un tee-shirt épais. Par-dessus, afin d'être sûr que rien ne soit visible, elle enfile une chemise blanche, opaque. Elle a ce réflexe, de le fermer intégralement. Seulement les jours d'été, elle accepte, afin de ne pas mourir de chaud, de déboutonner un. C'est un peu de pudeur et d'embarras. Elle n'apprécie pas le peu qu'elle possède. Elle le considère comme un défi, pour la pousser à se protéger des garçons. C'est une gamine qui a trop écouté les sermons d'un père protecteur et d'un curé influent.

    Elle serre sa jupe à la taille. Ce qu'une demoiselle, n'ayant pas la taille fine, aurait dû éviter. Mais elle n'a que faire de ce genre d'astuces. L'esthétisme ne l'intéresse pas. Et c'est là, qu'elle peut serrer autant qu'elle le désire sa ceinture. Alors c'est là qu'elle la serre. La jupe tombe, presque droite, accentuant une taille qu'elle n'a pas. Et là réside l'unique bonne idée. Dans son ampleur, la jupe cache ses jambes. Elle n'en est pas fière car elles ne sont ni longues, ni fines. Plutôt courtes et avec son pesant en graisse. Mais attention ! Pas n'importe laquelle. La bonne graisse, celle qui donne des idées.

    Sa nuque, on ne peut rien en voir. S'il y a bien une chose dont elle a horreur, c'est de cette ligne-ci. Partant de son cul jusqu'aux hanches, le long de sa colonne. Elle ne supporte pas les dos nus, le sien n'y faisant pas exception. C'est indécent, vous comprenez. Beaucoup trop sensuel. Cela l'embarrasse. Et c'est cette curiosité malsaine qui, encore une fois, l'horrifie en pointant son nez. Son fétichisme réside là, dans cette ligne-ci. Et pour s'en protéger, elle évite toute activité, tout lieu ou toute heure, durant lesquels elle risquerait de croiser une personne, dont le dos s'affiche. Elle, elle resserre son col. Elle serre une cravate mal mise, bien souvent, au maximum. Elle donne parfois l'impression de s'étouffer. Certainement est-ce le cas.

    Ses tenues sont donc étudiées, au détail près, pour n'éveiller chez les autres, qu'un vague mépris lié à sa trop grande conformité religieuse. Et cela ne s'arrête pas là ! Elle pousse le vice jusqu'à noyer ses cheveux. Sa longue chevelure. Elle aurait pu être magnifique. Des boucles soyeuses, sombre, qui encadrent son visage. Elles lui donnent un air mutin, peut-être même adorable. Mais Donna ne sait pas tout cela. Et quand bien même cela aurait été le cas, elle n'aurait rien changé à sa coiffure. Ou peut-être aurait-elle ajouté un peu plus de barrettes pour brouiller la beauté de ses cheveux … Peut-être bien. Elle aurait resserré ce chignon si compliqué, qu'elle s'enquiquine à faire chaque matin. Cela commence par une longue tresse, qu'elle enroule sur elle-même et pique avec une barrette ou deux. Parfois cela rate, elle doit tout défaire pour recommencer. Mais elle y a pris goût et pas un matin ne passe sans qu'elle ne se coiffe de la sorte. Elle laisse une frange épaisse le retomber lourdement sur le visage. Une mèche s'échappe souvent, trop courte pour se laisser entrainer dans la tresse. Elle glisse le long de son visage. Elle est victime de son angoisse, la demoiselle jouant avec pour se calmer. Pauvre d'elle.

    Elle n'a pourtant pas un si mauvais visage. Des joues pleines, sans aller jusqu'à la rondeur, qui rappellent qu'elle n'a que 16 ans. Un petit nez en trompette, qu'elle tient de son père. Et des yeux noirs, qui brillent pour un rien. Elle ne pleure pas, ou très peu, mais il n'est pas rare qu'une larme grimpe tout de même. Ce n'est pas l'émotion. C'est une question d'irritation.

    Elle ne se maquille jamais. À quoi bon ? Elle ne sait pas le faire, n'a jamais appris. Sa mère ne le faisait pas non plus. C'est le naturel qui prime depuis des générations. Et c'est ce même naturel qui la rend si fière. Sa peau tannée également, qui bronze doucement l'été. Elle revient grillé, mais d'un grillé qu'on apprécie bien. Et quand elle revient du pays, elle a cette odeur, de fleur, qui vole doucement autour d'elle. Une odeur douce et agréable, qui donne envie de marcher interminablement dans une prairie ensoleillé.

    Ah. Elle aurait été belle, si elle l'avait voulu. Mais ce n'est pas le cas. Elle ne le désire pas.

    Bon sang, aurais-je oublié de mentionner sa taille ? Ah, mais non ! Je voulais tout simplement vous éviter ce détail inutile ! Vraiment, qui s'intéresse au mètre soixante de la gamine ?


    Ce que vous aimez :
      • Lire, étudier, apprendre … Tout simplement, se torturer l'esprit.
      • Le calme religieux des Eglises, bibliothèques ou musées.
      • Ces moments magiques où, les mains jointes et les yeux clos, elle prie.
      • Le respect des bonnes moeurs.
      • Toutes ces choses ennuyeuses qu'une jeune fille de son âge ne devrait ni apprécier, ni faire.
      • … Donc, en somme, lire, prier, rester planqué à l'intérieur.
      • De voir le niveau des pièces grimper dans sa tirelire.
      • Prendre en photo tout ce qui lui passe sous le nez. Plus précisément les bâtiments.


    Ce que vous n’aimez pas :
      • Cette curiosité qui pointe son nez chaque fois que l'agitation nait près d'elle. L'idée d'un jour apprécier ce vacarme... Lui fait honte.
      • Ces choses que les filles de son âge sont censés faire … Vous savez, le shopping, parler mecs, tout ça …
      • La plage. Trop d'eau. Beaucoup trop.
      • La foule. Elle angoisse.
      • Les jupes courtes. Elle angoisse aussi.
      • Angoisser.
      • Avoir tord.
      • Cette adoration, ce fétichisme, cet amour qu'elle porte secrètement pour cette ligne-ci.
      • Ces gens-ci, qu'elle ne comprend pas.



    Talents particuliers : La cuisine, on oublie, coudre de même, dessiner, chanter... Non, ce n'est pas pour elle. Cependant, sa passion pour l'architecture la pousse parfois à transformer sa chambre en chambre noire. La photographie, vous savez... Et les maquettes quand le temps lui permet. Elle s'en sort plutôt bien.
    Habitudes/Tics : Oh, dès que l'angoisse pointe son nez, elle devient une véritable machine à tics. Le reste du temps, même une statue se fait plus animée qu'elle.


    Clubs dont vous faites partie : Photographie. Enfin... techniquement. Elle est en fait partie. S'y rendre, c'est autre chose.
    Loisirs : Les études et l'architecture...? Of course.
    Poste/Emploi : Aucun. Un, on vit de l'argent de Papa et Maman. Deux, on attend de finir ses études. Et trois, c'est trop compliqué tout ça, un autre jour.


    VOUS ! Oui, vous !

    Surnom : Fr.
    Âge : Pas encore celui de se marier. Ni de voter.
    Comment vous avez connu le forum ? J'étais là. Sur la V1. Of course. Puis, j'avais décrochée, là. Après. Je devais bosser, mais t'as la hongroise, genre, qui vient et qui me dit : T'as la mort, heiiin, la V1 réouvre ! J'étais, genre « ….OMG NON ! C'est un complot, c'pas possible ! ». Et comme, même avec un 4 qui me fouette le derrière, j'suis faible. J'suis là. Enfin, là. Genre, en mode fantôme, j'viens que le week-end au soir ou quand j'suis tellement un génie que j'ai tout fait. Mais j'viendrai. Promiiiis.
    … Ah. Ouais. Freyr. Genre, carrément que je te copie.
    … Nan, en fait, j'peux pas jouer Sm, j'y arrive paas, alors, j'tente en fille. Ca peut marcher.


    Voilà. Mais genre, j'suis là, sans être là.
    Des commentaires ?
    Ah. J'ai modifié l'emplacement du physique / caractère. Pour des biens. De narration. Voilà 8D.
    Et pour finir, le fameux code secret ! Les nains voleurs de chaussettes sont partout.
Revenir en haut Aller en bas
https://murphytest.forumgratuit.org
 

Fem!Matty yeaaah.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
TEST - TEST - TEST :: BOITE A IDEES :: { règlement :: MAIS CARREMENT-
Sauter vers: